A court et long terme, les effets d’une exposition à un air dégradé (intérieur et extérieur) sont à court et long terme sont conséquents : maladies respiratoires, cardiopathies ischémiques, cancers… et aboutiraient à un nombre estimé de près de 48 000 décès prématurés chaque année (liés aux particules fines).
Partie intégrante de notre cadre de vie, des « paysages », l’environnement sonore est également parfois source de nuisances, dont les effets se mesurent à court (gêne, trouble du sommeil, difficulté de communication, pathologies auditives) et long terme (cardiopathies, hypertension, troubles cognitifs, de l’apprentissage…).