La réduction de l'écart serait due à une dégradation de la consommation des personnes les plus diplômées entre 2006 et 2015.
Ces résultats mettent en évidence que la population ne s'est pas appropriée suffisamment les recommandations alimentaires du PNNS. Même la plus populaire, "5 fruits et légumes par jour", pourtant connue, n'est pas appropriée par tous au quotidien.
Dans une perspective de santé publique, cette situation montre la nécessité de renforcer les moyens d’intervention, d'élargir les moyens de communication, de multiplier les outils de pédagogie pour promouvoir une alimentation saine auprès du plus grande nombre.