Ces nuisances peuvent être atténuées en favorisant une biodiversité adaptée et diversifiée : favoriser les prédateurs naturels, limiter la disponibilité alimentaire, supprimer les espaces de nidifications de certaines espèces ou de ponte des moustiques dans l’espace urbain, choisir des végétaux plantés dans l’espace public et gérer les friches, talus et zones de chantier.
En l’absence d’actions préventives de ce type la seule alternative, aux résultats temporaires, est l’utilisation de produits biocides dont la rémanence dans la nature est problématique et qui présentent des effets délétères sur la santé humaine.